L'AVIS D'ISABELLE : LE PRÊT-À-CUISINER
L’intérêt des Québécois pour le prêt-à-cuisiner est en constante augmentation. D’ailleurs, cette popularité s’est rapidement accélérée depuis le début de la pandémie. Personnellement, je crois que cette industrie propose une solution intéressante qui peut convenir à plusieurs ménages. Je suis donc globalement favorable à cette offre du marché.
Les points forts
L’utilisation du prêt-à-cuisiner permet de :
- Explorer de nouvelles saveurs et nouveaux aliments (n’a-t-on pas tendance à cuisiner toujours les mêmes recettes ?)
- Développer des compétences culinaires (plusieurs se sont initiés à la cuisine grâce aux fiches recettes très détaillées)
- Sauver du temps (non négligeable sans compter les files d’attente à l’épicerie)
- Limiter le stress lié à la préparation et la planification des repas
Les points faibles
- La grande variabilité dans l’équilibre nutritionnel. Certains repas sont équilibrés et procurent des valeurs nutritives intéressantes alors que ce n’est pas du tout le cas pour d’autres. Par exemple, certains repas ne contiennent pas suffisamment de protéines pour en faire un repas complet, d’autres affichent un nombre de calories élevé ou une teneur en sodium s’approchant de l’apport maximal recommandable pour la journée.
Ambivalence
- Gaspillage alimentaire : dans certains cas, on constate une diminution du gaspillage puisque la quantité livrée est exactement celle qui devait être utilisée. Par contre, la formule sous forme d’abonnement prend parfois les clients de court, ceux-ci se retrouvant avec une commande oubliée non désirée.
- Le coût : selon vos habitudes alimentaires et votre gestion des stocks, opter pour le prêt-à-cuisiner pourrait même diminuer vos dépenses liées à l’alimentation!
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